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“Le RPG cherchera et trouvera des moyens comme d’habitude pour accompagner les médias”, dixit Marc Yombouno 

Quatre jours après le retrait des licences des médias (Djoma,  FIM et Espace) les déclarations de soutien ne tarissent pas.  Ce samedi 25 mai 2024, c’est le RPG Arc-en-ciel qui a apporté son soutien à la presse guinéenne. Le parti d’Alpha Condé demande aux autorités de revenir sur leurs décisions.  

Marc Yombouno qui a porté la voix du RPG, promet que l’ancien parti au pouvoir trouvera les moyens pour accompagner la presse. Lisez un extrait de son intervention ci-dessous. 

“C’est une situation qui vient piétiner, un des acquis de la démocratie. Si aujourd’hui que des gens viennent pour dire qu’ils sont là pour corriger les erreurs du passé mais qui nous ramène dans les misères de l’antiquité, le RPG est très surpris et c’est pourquoi nous nous solidarisons avec la presse. Et nous demandons aux nouvelles autorités de revenir sur leur décision. De faire en sorte que ces médias qui ont créé des emplois, qui emploient des jeunes dont aujourd’hui à la veille des examens nationaux les enfants attendent d’aller dans les salles d’examens, les parents doivent payer les frais de scolarité, à la de cette saison des pluies ils doivent payer les loyers, on ne peut pas s’attendre à une telle décision. Le RPG, recommande aux autorités de revenir à cette décision. Si vous venez vous avez trouvé des gens dans les emplois vous détruisez ces emplois c’est vraiment anormal, nous ne souhaitons pas ça pour notre pays. Ne voyons pas seulement ces journalistes mais plutôt leur famille. Les époques et les enfants. Et nous savons combien de fois la vie est chère aujourd’hui. Mes frères et sœurs de la presse, le parti RPG est à vos côtés. Le RPG compatie avec vous, le RPG cherchera et trouvera des moyens comme d’habitude pour accompagner les médias.

Il faut que la presse dans l’ensemble soit unie. Parce que nous constatons que parmi eux y en n’a certains qui dansent parce que d’autres ont perdu leur agrément. Quand j’ai suivi un des responsables qui a dit que y’ a pas que trois presse en Guinée. Y a plus de 200 ça veut dire beaucoup de choses…” 

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