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Le gouvernement réagit aux 24 points de revendications du mouvement syndical guinéen

Le ministre du travail et de la fonction publique Faya François Bourouno au nom du gouvernement a réagi au 24 points de revendications du  mouvement syndical guinéenC’était ce mercredi 1er mai à l’occasion de la journée internationale du travail

 

“Nous avons attentivement écouté les préoccupations exprimées par les travailleurs à travers leurs représentants. Ces revendications sont aussi les miennes et restent prioritaires pour le Gouvernement. Je vous assure que nous sommes entièrement engagés à soutenir toutes les initiatives qui visent à améliorer les conditions de vie et de travail de chaque travailleur et de chaque travailleuse de Guinée. Améliorer les conditions de vie de notre population est une priorité constante pour le CNRD et son président qui veille à ce que les bénéfices de notre croissance économique soit palpable pour tous. Dans notre lutte contre la pauvreté, nous restons déterminés à mettre en œuvre des politiques efficaces pour la création d’emplois et l’amélioration de l’employabilité particulièrement pour les jeunes et pour les femmes. Nous abordons également la problématique de la cherté des vies avec des actions concrètes pour répondre aux préoccupations quotidiennes des Guinéens« , a répondu Faya François Bourouno, ministre du Travail et de la Fonction publique.

 

Aujourd’hui, au nom du gouvernement, je prends l’engagement de veiller personnellement à ce que notre gouvernement continue de travailler avec détermination pour améliorer les conditions de travail et de vie de chaque citoyen guinéen. Ce n’est pas seulement un engagement, c’est aussi une priorité et pour l’illustrer, nous avons en cours une étude pour voir les modalités d’extension de la couverture sociale sur le secteur informel. Il est essentiel de maintenir un climat de paix, seul gage de notre capacité à répondre efficacement à vos demandes. Je vous exhorte à poursuivre le dialogue constructif ouvert et permanent, mais également un dialogue qui puisse faire renaître la confiance entre les acteurs« , s’est engagé M. Bourouno.

J’ai suivi le message des travailleurs du secteur de la presse. Je vais vous rassurer que le gouvernement ne veut pas tuer la presse ni la museler. Cette préoccupation sera une préoccupation gouvernementale. Il y a un projet de convention collective, dans les prochains jours, l’inspection du travail se mettra en rapport avec les acteurs concernés pour finaliser l’élaboration de la convention collective. Le gouvernement veut faire plus, le gouvernement veut un travail décent dans le secteur de la presse, nous voulons désormais des relations formelles et formalisées entre les employeurs du secteur de la presse et leurs employés”, a répondu Faya François Bourouno, au mouvement syndical guinéen. 

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